Géraldine Le Floch

Mon expérience

Esthète dans l’âme, sensible aux matériaux « nobles », à l’équilibre des formes et des couleurs, j’ai entamé ma vie professionnelle par le métier de tapissière d’ameublement avant de me spécialiser dans l’industrie de l’habillement. Après m’être amusée une dizaine d’années en tant que modéliste industrielle, le désaccord avec mes valeurs éthiques a eu raison de mon amour pour cet univers.

Passionnée de vieilles pierres depuis toujours, ce sont les valeurs humaines portées haut et fort par de la cour au jardin, à contre-courant de l’étiquette qui colle à la profession, qui m’ont décidées à cette reconversion dans l’accompagnement au changement de lieu de vie.

Ce qui m’inspire

Les petits riens, les détails, les imperfections, les atypies, les écorchures.
La rosée sur une toile d’araignée, l’odeur de l’amande amère, les vagues qui s’éclatent sur les rochers,  le soleil qui scintille derrière un voilage, un bouton d’or au lieu d’un champs de coquelicots.
Le relief des noirs de Soulages, les lithographies d’Alfons Mucha, les notes d’Ibrahim Maalouf, la plume de Katherine Pancol…

Les histoires de vies singulières, les sourires qui chantent, les yeux qui pétillent et les silences qui en disent long.

Ma maison idéale

Une maison lumineuse, chaleureuse, ouverte sur la nature, en pierres de taille et en bois.

Une maison assez grande pour que chacun ait son espace et qu’il y ait un espace pour tous.

Une piscine pour lambiner l’été, un poêle pour flâner l’hiver.

Un jardin avec un figuier, un cerisier de Montmorency, des groseilles, des framboises et des violettes.

Mais avant tout une maison qui vit, où l’on a envie de rentrer et de rester, une maison ouverte aux amis, où rires résonnent.